Nous avions choisi toutes les options pour être le plus tranquilles possible. En premier le jour de l'audience Papale et le billet coupe file ensuite à .... 8 heures du matin!
On assure!
Mais il restait quand même un doute ... on dit tellement partout que c'est toujours plein, une queue terrible ... eh bien, non! il n'y avait personne ou presque jusqu'à 10 h15. Ensuite ça commence à se corser, les groupes passent vite pour aller direct aux chambres de Raphaël et à la chapelle Sixtine.
Elle nous tient tellement en halène cette chapelle Sixtine ... qu'il est difficile d'être concentré sur ce que qui nous est offert.
Un des correspondants allemand des enfants m'avait posé un jour la question devant le Louvre que nous longions en Bateaubus : quel est le plus grand des deux musées "en surface", le Louvre et le Vatican?
J'étais bien incapable de le dire, aujourd'hui encore je ne suis pas sûre d'avoir la bonne réponse. Je connais le Louvre, j'avoue volontiers sur le plan les recoins où je ne suis pas allée souvent mais je suis bien en peine de dire si les surfaces valent celles du Vatican.
Le circuit du Vatican oblige les touristes à passer dans un grand nombre de salle avant d'arriver à la Chapelle Sixtine. Quand nous y arrivons enfin, selon ce qu'ont été les jours précédents, les pieds sont en confiture, et le dos tire.
Pour être confort, il faut le faire en deux fois, ce qui permettrait d'ajouter les jardins que nous n'avons pas vus, et de trainer plus dans les salles. Ce que nous avons beaucoup apprécié dans les musées du Vatican, c'est qu'il nous semble qu'une sélection rigoureuse a été faite et qu'il ne reste que du très beau à voir.
Rien que les statues déjà vous rincent l'œil. Après la Grèce l'été dernier, c'est bien agréable d'en rencontrer à nouveau.
On assure!
Mais il restait quand même un doute ... on dit tellement partout que c'est toujours plein, une queue terrible ... eh bien, non! il n'y avait personne ou presque jusqu'à 10 h15. Ensuite ça commence à se corser, les groupes passent vite pour aller direct aux chambres de Raphaël et à la chapelle Sixtine.
Elle nous tient tellement en halène cette chapelle Sixtine ... qu'il est difficile d'être concentré sur ce que qui nous est offert.
Un des correspondants allemand des enfants m'avait posé un jour la question devant le Louvre que nous longions en Bateaubus : quel est le plus grand des deux musées "en surface", le Louvre et le Vatican?
J'étais bien incapable de le dire, aujourd'hui encore je ne suis pas sûre d'avoir la bonne réponse. Je connais le Louvre, j'avoue volontiers sur le plan les recoins où je ne suis pas allée souvent mais je suis bien en peine de dire si les surfaces valent celles du Vatican.
Le circuit du Vatican oblige les touristes à passer dans un grand nombre de salle avant d'arriver à la Chapelle Sixtine. Quand nous y arrivons enfin, selon ce qu'ont été les jours précédents, les pieds sont en confiture, et le dos tire.
Pour être confort, il faut le faire en deux fois, ce qui permettrait d'ajouter les jardins que nous n'avons pas vus, et de trainer plus dans les salles. Ce que nous avons beaucoup apprécié dans les musées du Vatican, c'est qu'il nous semble qu'une sélection rigoureuse a été faite et qu'il ne reste que du très beau à voir.
Rien que les statues déjà vous rincent l'œil. Après la Grèce l'été dernier, c'est bien agréable d'en rencontrer à nouveau.
Un Anubis romanisé des salles égyptiennes.
La cour octogonale du palais du Belvédère où sont réunies les statues grecques et romaines
L'Apollon du Belvédère : une copie romaine d'un original grec attribué à Léocharès.
Je n'ai pas le petit carnet de note de tout bon photographe, et surtout je n'arrive pas à regarder, profiter, photographier et noter! D'après le livre du musée, et mes souvenirs quand même, ce doit être la Vénus Félix. La loupe sur la photo confirme.
Par sa pose, cette sculpture s'inspire de l'Aphrodite de Cnide de Praxitèle. Je l'ai trouvée beaucoup plus fine et féminine que son modèle. Elle est mise en valeur par le fond peint de la niche dans laquelle elle est placée.
Par sa pose, cette sculpture s'inspire de l'Aphrodite de Cnide de Praxitèle. Je l'ai trouvée beaucoup plus fine et féminine que son modèle. Elle est mise en valeur par le fond peint de la niche dans laquelle elle est placée.
Le groupe de Laocoon, le "fameux" dit-on dans les guides.
Nous l'avons pour notre part découvert. C'est vrai qu'il est très réaliste et que la force musculaire et psychologique qui en ressort est impressionnante.
Pour l'histoire, Laocoon prêtre d'Apollon à Troie, met en garde ses compatriotes quand ils souhaitent faire entrer le cheval laissé par les Achéens devant Troie. Ce devait être une offrande à Poséidon.
C'est à lui que Virgile fait dire " Je crains les Grecs, même lorsqu'ils apportent des présents."
Alors que Laocoon fait un sacrifice à Poséidon, deux serpents sortent de la mer et se jettent sur les fils de Laocoon et les démembrent puis s'attaquent à Laocoon qui tentait de s'interposer.
La suite est plus connue, les troyens n'ont pas entendu les réserves de Laocoon.
Ce que je préfère, c'est les fils de droite qui essaye d'ôter le serpent qui entoure sa cheville. Le geste et le profil grimaçant nous entraine dans l'horreur.
Nous l'avons pour notre part découvert. C'est vrai qu'il est très réaliste et que la force musculaire et psychologique qui en ressort est impressionnante.
Pour l'histoire, Laocoon prêtre d'Apollon à Troie, met en garde ses compatriotes quand ils souhaitent faire entrer le cheval laissé par les Achéens devant Troie. Ce devait être une offrande à Poséidon.
C'est à lui que Virgile fait dire " Je crains les Grecs, même lorsqu'ils apportent des présents."
Alors que Laocoon fait un sacrifice à Poséidon, deux serpents sortent de la mer et se jettent sur les fils de Laocoon et les démembrent puis s'attaquent à Laocoon qui tentait de s'interposer.
La suite est plus connue, les troyens n'ont pas entendu les réserves de Laocoon.
Ce que je préfère, c'est les fils de droite qui essaye d'ôter le serpent qui entoure sa cheville. Le geste et le profil grimaçant nous entraine dans l'horreur.
Hermès, copie romaine de l'époque d'Hadrien tirée d'un bronze grec du IVème siècle avant JC. Il a été retrouvé près du château de Saint Ange en 1543.
Quelle époque le 16ème siècle à Rome ! Les travaux de construction mettaient à jour des statues, des mosaïques, des fondations depuis longtemps enfouies sous terre. Bien sûr, bien sûr, ce n'était pas monsieur "tout le monde" qui se faisait construire son petit palais, mais laissez moi rêver! Il m'aurait plu de voir les yeux émerveillés des fins connaisseurs appelés à se prononcer sur la datation de la dernière trouvaille et l'enthousiasme soulevé après ces découvertes.
Quelle époque le 16ème siècle à Rome ! Les travaux de construction mettaient à jour des statues, des mosaïques, des fondations depuis longtemps enfouies sous terre. Bien sûr, bien sûr, ce n'était pas monsieur "tout le monde" qui se faisait construire son petit palais, mais laissez moi rêver! Il m'aurait plu de voir les yeux émerveillés des fins connaisseurs appelés à se prononcer sur la datation de la dernière trouvaille et l'enthousiasme soulevé après ces découvertes.
Jules César dans le cabinet des bustes. Promis la prochaine fois, je prends des notes. Si vous reconnaissez les deux autres, faites partager!
Bustes de Caton et Portia, deux époux provenant d'une tombe du 1er siècle avant JC. je les trouvent très touchants.
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